Il s’agit ici de présenter l’œuvre de Jochen Gerz pour mettre en évidence que, résistant aux normes mémorielles et délaissant la scène culturelle pour s’approcher du social, elle pose comme peu d’autres aujourd’hui les questions des modèles culturels que façonnent ou auxquels se prêtent nombre d’artistes contemporains qui prennent pour sujets les mémoires historiques.